C’est un grand plaisir que d’exposer mes nouvelles créations dans cette exposition « PHOENIX » aux Puces de Nice! Un grand merci à la Ville de Nice et à Robert Roux qui m’ont permis de colorer les murs de ma ville ! #STREETART.
Les Phoenix sont disponibles en version originale ainsi qu’en sérigraphie limitée sur papier d’art.
Voici le communiqué de presse de la Ville de Nice :
Cet été, la Ville de Nice invite l’illustrateur-Plasticien niçois, Eric Garence, à prendre ses quartiers sur les murs d’enceinte des Puces de Nice pour y afficher ses « Phoenix ».
Il succède ainsi aux artistes Moko Mad’moiselle (Stéphanie Chotia), Loic Deltour & Lionel Bouffier qui avaient proposé au printemps deux séries de photographies complémentaires intitulées « Regards croisés ».
Avec cette série d’œuvres intitulée « Phoenix », Eric Garence entame une recherche d’un « sur-artiste ». Un artiste qui sur le modèle du « sur-humain » de Nietzsche serait en mesure de surmonter et transfigurer ses propres créations et son ego.
Dans un premier geste, l’artiste détruit sa propre création que l’on pensait produit fini, l’affiche est ainsi déchirée pour redevenir matière première. Dans un second geste, l’artiste dépasse sa création initiale en la recomposant pour faire renaître une nouvelle création issue à la fois d’un processus maîtrisé et du fruit du hasard. Ces créations sont autant de phœnix porteurs d’espoir pour l’artiste lui-même et le spectateur qui peut (re)découvrir les thèmes niçois et azuréens !
L’exposition sort du cadre habituel de la galerie, ici, les œuvres sont visibles de tout un chacun passant dans la rue. L’exposition est maintenue jusqu’à ce que le temps fasse son œuvre…
Cette démarche s’inscrit dans une politique plus globale en matière d’art urbain souhaitée par Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur sous l’impulsion de Robert Roux, Conseiller Municipal en charge de l’Art dans l’Espace Public. Il s’agit alors de solliciter des créateurs pour qu’ils introduisent, dans le paysage urbain, une présence artistique contemporaine à l’instar des œuvres inaugurées en 2017 au sein même du marché aux puces réalisées par OTOM, MR ONE TEAS, Patrick Moya, François Nasica, C215, STEW, ETNIK.
— ENGLISH VERSION —
This summer, the City of Nice invites the illustrator-Plasticien Nice, Eric Garence, to take up residence on the walls of the Puces de Nice to display its « Phoenix ».
He succeeds the artists Moko Mad’moiselle (Stephanie Chotia), Loic Deltour and Lionel Bouffier who had proposed in the spring two series of complementary photographs entitled « Regards croisés ».
With this series of works entitled « Phoenix », Eric Garence begins a search for an « over-artist ». An artist modeled on Nietzsche’s « over-human » would be able to overcome and transfigure his own creations and ego.
In a first gesture, the artist destroys his own creation that was thought finished product, the poster is thus torn to become raw material again. In a second gesture, the artist goes beyond his original creation by recomposing it to revive a new creation resulting from both a controlled process and the fruit of chance. These creations are as many phoenixes bringing hope for the artist himself and the spectator who can (re) discover the Nice and Riviera themes!
The exhibition goes out of the usual frame of the gallery, here, the works are visible of everyone passing in the street. The exhibition is maintained until time does its work …
This approach is part of a more global policy on urban art desired by Christian Estrosi, Mayor of Nice, President of the Nice Côte d’Azur Metropolis, President delegate of the Provence-Alpes-Côte d’Azur Region under impulse of Robert Roux, Municipal Councilor in charge of Art in Public Space. It is then a question of soliciting creators to introduce, in the urban landscape, a contemporary artistic presence like the works inaugurated in 2017 within the flea market realized by OTOM, MR ONE TEAS, Patrick Moya , François Nasica, C215, STEW, ETNIK.